
























Je ne souhaite jamais la mort des gens;
Mais si l’on ne mourait plus,
J’crèv’rais d’faim sur mon talus…
J’suis un pauvre fossoyeur.
Les vivants croient qu’je n’ai pas d’remords
A gagner mon pain sur l’dos des morts;
Mais ça m’tracasse et, d’ailleurs,
J’les enterre à contrecœur…
J’suis un pauvre fossoyeur » 

𝐺𝑒𝑜𝑟𝑔𝑒𝑠 𝐵𝑟𝑎𝑠𝑠𝑒𝑛𝑠